Raoni ROCHA – Brésil
en thèse CIFRE à Nantes
« Je l’ai déjà dit mais je me répète : nous, les chercheurs étrangers à Nantes, avons vraiment de la chance d’avoir la MCE et surtout ces femmes qui font leur boulot avec beaucoup de passion et d’efficacité. »
Raoni ROCHA – Brésil
Je suis Raoni Rocha, brésilien, 33 ans, doctorant en Ergonomie attaché à l’Université de Bordeaux et en développement d’une recherche à ERDF-GRDF du Pays de la Loire. Ma recherche porte sur le développement d’une culture de sécurité dans les entreprises à risque.
Je suis arrivé à Nantes par hasard. En fait, c’était surtout à cause de mon terrain de recherche qui est placé dans les Pays de la Loire et qui m’a amené à Nantes. Et alors je suis très reconnaissant à ma recherche puisqu’elle m’a fait découvert une ville surprenante : très vivante, jeune, verte, culturellement et historiquement riche, avec une intense vie diurne et nocturne. Je suis donc depuis le début ravi de connaître des endroits comme le LU et le Château de Duchesse Anne, de prendre un verre avec des copains dans les pubs du quartier Bouffay ou au Hangar à Bananes, de faire du sport au bord de la Loire ou de l’Erdre, de profiter des soirées musique classique à la Cité des Congrès, de voyager dans les œuvres de Jules Verne ou simplement se balader au centre-ville.
En plus, en tant que chercheur et étranger, je rencontre des personnes extraordinaires dans un endroit exceptionnel : la Maison des Chercheurs Etrangers (MCE).
Tout d’abord, je trouve la gentillesse et la compétence des femmes de la MCE qui m’ont énormément aidé dans mes démarches administratives. Je découvre par exemple que je peux régler mes démarches directement auprès d’elles sans passer à la Préfecture ! (Ayant vécu 2 ans à Paris, habitué à de longues attentes dans les queues parisiennes et de la mauvaise humeur des fonctionnaires, le démarrage de mes démarches à Nantes c’était quelque chose de vraiment agréable !).
Ensuite, à travers des RDV formels mais aussi quotidiens, les femmes de MCE m’ont beaucoup aidé sur plusieurs autres sujets : recherche de logements, découverte de la ville, socialisation avec les autres doctorants, renseignements généraux d’ordre pratique. Je l’ai déjà dit mais je me répète : nous, les chercheurs étrangers à Nantes, avons vraiment de la chance d’avoir la MCE et surtout ces femmes qui font leur boulot avec beaucoup de passion et d’efficacité.
Étant à la fin du doctorat et en rentrant au Brésil au 2ème semestre, je garderai toujours des bons copains et des supers souvenirs de cette ville merveilleuse !